Chez Pure Ocean, nous en avons toujours été convaincus : les athlètes sont d’excellents vecteurs d’engagement.

En contact avec l’océan au quotidien, elles et ils sont les premiers témoins de sa dégradation — et leur parole, suivie, écoutée, peut faire bouger les lignes !

Lors de l’UNOC – Conférence des Nations Unies pour l’Océan, les athlètes du Climate Sport Camp ont lancé une initiative remarquable : « Athletes for Science ».

🎯 Son objectif ? Créer des passerelles concrètes entre sport de haut niveau et recherche scientifique, pour mieux comprendre et protéger l’océan, le climat et la biodiversité.

Ce programme rassemble déjà 50 athlètes de renom, déterminés à faire équipe avec le vivant.

🙌 Parmi cette équipe de choc ? Notre ambassadrice Ainhoa Leiceaga dont nous sommes extrêmement fiers ! Championne de surf et elle-même scientifique, elle a pris la parole pour partager son engagement et son expérience lors du lancement. Une chance exceptionnelle et une prise de parole pleine de sens et d’authenticité !

Le projet est soutenu par les institutions publiques, notamment le Ministère des Sports, représenté sur place par Marie Barsacq, Ministre des Sports, de la Jeunesse et Vie associative. Plusieurs figures du sport et de la science étaient également présentes pour témoigner de la force de cette dynamique collective : Anne Dos Santos (FFVoile), Flora Artzner, Arthur Le Vaillant, Armelle Courtois, Pauline Johanet, Mathieu Navillod, Marie Chauchè, Jean-Baptiste Bosson, Serge Planes, Philippe Terral, et bien d’autres.

👏 Bravo aux 50 athlètes engagé·es et à toutes celles et ceux qui portent cette initiative avec conviction !

L’océan est soudainement apparu dans le débat public ces derniers jours. Enfin !

Mais combien de temps restera-t-il visible ? Combien de temps avant qu’il ne redevienne le grand oublié de nos agendas politiques, économiques, médiatiques ?

Et pourtant, l’étude du cabinet Utopies, publiée cette semaine dans Le Monde, est sans appel :

« L’océan reste le grand absent des stratégies d’entreprise alors que 40 % des emplois en France dépendent des milieux marins. »

Le chiffre est vertigineux.

⛔ Percevoir l’océan comme un sujet « secondaire », c’est méconnaître à quel point il soutient nos chaînes de valeur, même loin des côtes.

⛔ Ne pas mesurer son impact sur les milieux marins, c’est contribuer, à son insu, à leur dégradation.

👉 Le moment est là. Il ne faut pas que la prise de conscience s’évanouisse avec la fin d’un sommet. Mais comment ?

Un constat de départ simple : aujourd’hui, moins de 3 % des budgets mondiaux de recherche sont consacrés à l’océan.

Alors même qu’il couvre plus de 70 % de notre planète, régule notre climat, absorbe le carbone, génère de l’oxygène et nourrit des milliards de personnes. Ce déséquilibre en dit long. Il reflète l’invisibilité de l’océan dans nos priorités collectives — économiques, politiques, scientifiques. On protège mal ce qu’on comprend peu. Et on comprend peu ce qu’on néglige de regarder.

Face à ce constat, il y a une chose que nous pouvons faire : soutenir la recherche.

Financer la science, c’est renforcer notre résilience collective et lutter contre la désinformation, en privilégiant la connaissance, la transparence et la preuve plutôt que les approximations et les slogans.

Chez Pure Ocean, c’est notre engagement.

Soutenir la science, faire le lien entre savoir et action, embarquer les acteurs économiques dans cette dynamique. Parce que protéger l’océan commence par le comprendre.

Alors, laisserez vous l’océan retomber dans l’oubli ?

➡️ Soutenez l’océan, soutenez la recherche : https://www.pure-ocean.org/soutenez-nous/