COP30 à Belém : la COP de la dernière chance ?
Alors que 2024 est devenue l’année la plus chaude jamais enregistrée, dépassant pour la première fois le seuil symbolique de +1,5°C, le monde se réunit du 10 au 21 novembre à Belém, au cœur de l’Amazonie.
Un lieu symbole. Une urgence planétaire.
Dix ans après l’Accord de Paris, les promesses ne suffisent plus.
Les financements ne suivent pas.
Et les écosystèmes, eux, s’effondrent.
Cette COP sera celle du réalisme : peu de nouveaux accords, mais une exigence claire ➡️ mettre enfin en œuvre ce qui a été décidé.
Près d’une centaine de pays ont déjà mis à jour leurs engagements, la Chine a annoncé sa première cible absolue de réduction d’émissions, la France a réaffirmé son appui à la transition énergétique mondiale.
Mais l’ambition reste fragile.
🌊 Chez Pure Ocean, nous défendons une conviction simple :
Tant que l’océan et la nature ne seront pas placés au cœur des décisions, il n’y aura pas de chance réelle de maintenir le réchauffement sous les 1,5 °C.
Nous attendons de cette COP qu’elle :
✅ reconnaisse le rôle vital des solutions fondées sur la nature, terrestres et marines,
✅ transforme les promesses financières en impact réel,
✅ mobilise le secteur privé pour amplifier l’impact collectif.
🙌 À Belém, il ne s’agit plus de déclarer des intentions, mais de prouver que la coopération internationale peut encore fonctionner.
Les États doivent tenir parole.
Les entreprises doivent agir.
Nous ne sommes plus dans le temps des promesses, mais celui de l’action.



