CATEGORIE DU PROJET
PROJET XX
Objectifs du projet résumé du projet l’Afrique du Sud et le Mozambique
Résumé du projet l’Afrique du Sud et le Mozambique sont des hotspots pour de nombreuses espèces de raies et de requins menacées, ou pour lesquelles il manque des données essentielles. Leur protection varie cependant d’un pays à l’autre : la longue côte du Mozambique est l’objet de diverses pêcheries, ce qui en fait un terrain propice à la pêche illégale, non déclarée et non réglementée (INN).
CE QUI REND CE PROJET INNOVANT ?
- Solution basée sur la nature, technologie et social
L’Afrique du Sud et le Mozambique sont des hotspots pour de nombreuses espèces de raies et de requins menacées, ou pour lesquelles il manque des données essentielles. Leur protection varie cependant d’un pays à l’autre : la longue côte du Mozambique est l’objet de diverses pêcheries, ce qui en fait un terrain propice à la pêche illégale, non déclarée et non réglementée (INN).
LES ENJEUX DU PROJET
L’Afrique du Sud et le Mozambique sont des hotspots pour de nombreuses espèces de raies et de requins menacées, ou pour lesquelles il manque des données essentielles. Leur protection varie cependant d’un pays à l’autre : la longue côte du Mozambique est l’objet de diverses pêcheries, ce qui en fait un terrain propice à la pêche illégale, non déclarée et non réglementée (INN). Les observations de raies manta y ont diminué de 90%, soulignant l’urgence de protéger ces espèces et leurs habitats clés. L’objectif principal de ce projet est d’identifier les zones de chevauchement entre les raies manta et la pêche industrielle, et d’évaluer l’efficacité des aires marines protégées (AMP) pour leur conservation grâce à des méthodes de suivi satellite. Le projet combine également les sciences participatives et les observations des pêcheurs artisanaux afin d’étudier la pêche illégale dans les eaux côtières peu profondes, ainsi que les zones de conflit entre pêche industrielle et pêche artisanale. Ce programme de recherche apportera des informations cruciales sur l’utilisation de la côte par les raies et les requins, des données de référence permettant d’évaluer leur statut de conservation actuel et les futures populations tout en soutenant le développement de stratégies de conservation efficaces.
L’Afrique du Sud et le Mozambique sont des hotspots pour de nombreuses espèces de raies et de requins menacées, ou pour lesquelles il manque des données essentielles. Leur protection varie cependant d’un pays à l’autre : la longue côte du Mozambique est l’objet de diverses pêcheries, ce qui en fait un terrain propice à la pêche illégale, non déclarée et non réglementée (INN). Les observations de raies manta y ont diminué de 90%, soulignant l’urgence de protéger ces espèces et leurs habitats clés. L’objectif principal de ce projet est d’identifier les zones de chevauchement entre les raies manta et la pêche industrielle, et d’évaluer l’efficacité des aires marines protégées (AMP) pour leur conservation grâce à des méthodes de suivi satellite. Le projet combine également les sciences participatives et les observations des pêcheurs artisanaux afin d’étudier la pêche illégale dans les eaux côtières peu profondes, ainsi que les zones de conflit entre pêche industrielle et pêche artisanale. Ce programme de recherche apportera des informations cruciales sur l’utilisation de la côte par les raies et les requins, des données de référence permettant d’évaluer leur statut de conservation actuel et les futures populations tout en soutenant le développement de stratégies de conservation efficaces.
OBJECTIF DU PROJET
Texte correspondant à l’impact
LOCALISATION
Indonésie
DURÉE
2022 – 2023
EN BREF
ACTUALITÉS
LES RÉSULTATS ET IMPACT
Le récif artificiel flottant était initialement conçu en béton imprimé en 3D, pensé pour imiter l’organisation interne des éponges de type Ascon. Cette structure biogénique devait ainsi maximiser les surfaces colonisables par la vie marine, tout en assurant sa viabilité (échanges gazeux, apports en nutriments, etc.).
Une deuxième phase d’ingénierie conduit les architectes a alléger et simplifier la structure de béton pour une sphère d’ossature métallique. La flottabilité de la structure est assurée par des bouchons de liège contenus par un assemblage de filets issus d’une filière de réemploi des déchets de pêcheries locales. Des modules inspirés des polypes des coraux méditerranéens permettent les échanges de gaz et de nutriments avec l’habitat environnant, en dispensant des caches et abris pour petits invertébrés et juvéniles de poissons.
Les développements finaux allègent encore le récif flottant en limitant le recours à l’ossature métallique par des modules en biopolymères imprimés en 3D. Les bouchons de liège sont maintenant contenus dans de multiples modules, dont la précision d’assemblage solidifie l’ensemble de la structure, en permettant les flux d’eau au travers du récif.
Les espaces disponibles à la vie sont maximisés dans une structure durable, valorisant des matériaux locaux de réemploi.
LES PORTEURS DU PROJET
Agnese Riccardi